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dimanche 18 février 2018

Le Chemin D' Ayla

Se laisser happer dans le monde de Ayla & Jondalar...


Il y a 16 ans, alors que j’ étais enceinte de notre petite dernière (alitée, éléphantesque et incapable de faire autre chose que lire) mon mari m’ a opportunément offert un livre de Jean M. Auel: “Le Clan de L’ Ours Des Cavernes”, 1er volume de la série des Enfants De La Terre.

Vous dire que j’ ai été happée par le monde de Ayla serait encore trop faible !

J’ ai tellement aimé ce premier tome que j’ ai vite dévoré les 4 suivants -d’ énormes pavés comme je les aime- attendu en piétinant le 6ème et dernier, et surtout, depuis 16 ans, je les relis touts les 6
à peu près tous les 2 ans -ça tombe cette année: année paire, année des Enfants De La Terre !!! 😎 -* 

Et ça en fait des, pages !
’Fin bref.

L’auteure nous ramène aux temps préhistoriques, où l’humanité Cro-Magnon partage encore la terre avec les Neandertal et où tout trouve harmonieusement sa place dans un monde tout entier régi par la Nature, la Grande Terre Mère.

Ayla est une petite Cro-Magnon de 5 ans qui se retrouve séparée de son clan et adoptée par une tribu de Néandertaliens.
La difficulté de vivre dans ce monde hostile (la préhistoire lors de la dernière ère glaciaire sans internet je vous laisse imaginer) force cette enfant à observer, déduire, et trouver des solutions pour survivre.
Tous les tomes sont intéressants, bien sûr, mais j’ ai particulièrement aimé le 4ème, qui raconte le voyage d’ Ayla et de son compagnon Jondalar à travers l’ Europe, tout le long de la Grande Rivière Mère, pour rejoindre le clan de ce dernier.

C’ est là que j’ en arrive au tricot.

Voyez-vous, la première fois que j’ ai vu le patron de chaussettes Kalajoki, ça a fait tilt dans ma tête et j’ ai pensé à ce bouquin: en fait, la créatrice du modèle avait souhaité représenter le trajet de sa rivière, et moi, ça m’ avait évoqué celle-là.
Déjà à l’ époque, je l’ avais “quioué” parce qu’il me faisait penser au voyage d’Ayla !

Mais chemin faisant, il a fallu que j’ ajoute 2-3 petits détails pour que la Kalajoki devienne vraiment la Grande Rivière Mère.
  • tout d’ abord, il fallait que la chaussette soit bleue, parce que la Grande Rivière Mère c’ est le Danube, et le Danube il est bleu.
  • j’ ai doublé le bord côtes pour figurer le gros glacier que Ayla et Jondalar doivent traverser -en luge !- à la fin du bouquin, et parce que quand tu marches sur un glacier, mieux vaut avoir les pieds bien au chaud.
  • j’ ai ajouté, au dos, le garter strip de la chaussette Squircle, qui m’ évoquait la grande échelle du peuple des Sharamudoï (pour savoir qui c’ est ceux-là et pourquoi, lire le bouquin, non mais !)
  • et enfin, j’ ai fait un rang de point mousse entre les orteils et le corps de la chaussette; symbolisant l’embouchure de la rivière, le départ du voyage d’ Ayla, et surtout la rupture avec tout ce qu’ elle avait connu jusqu’ alors et l’ adieu à son fils…
Voilà.
Désolée pour le roman, voici les photos

Aylas path

Aylas path

Aylas path

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